Tapis de couchage

Le confort est toujours important, même en camping. Avec un bon tapis de couchage, vous pouvez profiter du confort et vous reposer aussi bien que chez vous. Étant donné qu'il existe de nombreux types de tapis de couchage, il est utile de bien comprendre les différences. À l'aide de ces informations, vous pouvez facilement choisir le tapis de couchage qui vous convient.

Épais ou fin, large ou étroit ?

La plus grande différence entre les tapis de couchage réside dans leur taille. Il existe des tapis très épais et très fins, ainsi que des tapis très larges et très étroits. Le choix dépend de vos préférences.
- Épais et large : pour un maximum de confort, vous devez évidemment opter pour cette catégorie. Vous dormirez comme un bébé et ne sentirez certainement pas le sol dur (et froid).
- Épais et étroit : si vous n'avez pas beaucoup d'espace dans votre tente et que vous dormez paisiblement, vous pouvez choisir un tapis de couchage épais et étroit. Vous ne tomberez pas facilement du tapis et dormirez profondément.
- Fin et large : si vous bougez beaucoup pendant votre sommeil et que vous souhaitez voyager léger, ce type de tapis de couchage est une bonne option. Bien que le confort de sommeil ne soit pas optimal, le faible poids peut compenser beaucoup.
- Fin et étroit : pour les plus endurcis, ce type de tapis de couchage est une possibilité. La combinaison d'un poids extrêmement léger avec une petite surface en fait un choix parfait pour les personnes très actives (randonnée ou vélo). Après une journée énergique, vous finirez par vous endormir de toute façon !

Tapis de couchage autogonflants

Transporter une pompe n'est pas toujours pratique et se gonfler soi-même est très fatigant. C'est ce qu'a pensé l'inventeur du tapis de couchage autogonflant. Avec ce type de tapis de couchage, il vous suffit d'ouvrir la valve et de déployer complètement le tapis, le reste se fait tout seul. Avec le temps, la pression d'air peut diminuer un peu. Pour éviter cela, vous pouvez ajouter un peu d'air supplémentaire après le « gonflage automatique ».